Pour qu'une page soit tournée, il faut qu'elle soit écrite.

Histoire de la famille Kambourian – ajout 2014

mise à jour 2014 du site concernant l’histoire de ma famille Kambourian Kouyoumdjian Pirimian … qui faisait partie de la communauté arménienne catholique d’Angora (Ankara)

Histoire de la famille Kambourian : ajout 2014

– histoire de la communauté arméno-catholique d’Arnouville :

livre « Papiers d’Arménie »

Nicole Bourgeois et Marie-hélène Babadjian-Van Dooren

http://boutique.editions-sutton.com/SUTTON/Article/Papiers-d-Armenie—Entre-memoire-et-histoire-9782813806703.aspx

– les sœurs de l’Immaculée conception à Arnouville

http://arnouvilleetsonpasse.fr/leglise-catholique-armenienne-saint-gregoire-l-illuminateur-51

Le couvent des sœurs arméniennes de l’Immaculée Conception, contigu à cette église et construit à peu près à la même époque- 1931 – actuellement propriété de la Commune

– a abrité longtemps les orphelines du génocide recueillies par les sœurs, sous la conduite de père ISKENDER, curé de la paroisse.

à côté de l’école Hrant Dink :

http://www.acam-france.org/contacts/contact_ecole.php?cle=467

«  Le couvent adjacent où s’activait jusqu’à la fin des années 70 la congrégation des soeurs catholiques arméniennes de l’Immaculée conception (elles se sont installées ensuite à Lyon) a été vendu à la mairie qui l’a transformé en un service pour la petite enfance. Mais les lieux restent encore habités par deux âmes, celle du père mekhitariste Athanase Kessedjian, débordant de foi, de bonté et de patriotisme, et celle de Jean-Étienne Akian (Stépan) qui, après avoir officié à la messe au clavier, est devenu le leader du premier groupe de rock-folk arménien Zartong (renaissance). »

– Les écoles de Constantinople :

Vues de l’école Saint Joseph à Kadi-Keuy – collège des Frères

http://levantineheritage.com/stjoseph.htm

Lycée Sainte-Pulchérie d’Istanbul : congrégation des Filles de la Charité – Saint-Vincent de Paul

http://www.dubretzelausimit.com/article-26978786.html

Lycée Français Saint Michel de Péra . Frères des écoles Chrétiennes.

http://www.istanbulguide.net/istguide/artetarch/batimliste/ecoles/stmichel.htm

pensionnat Sainte Euphénie – HaÏdar – Pacha

http://assomption-orient.org/histoire/Oa_expansion.htm

http://maviboncuk.blogspot.fr/2012/02/college-sainte-euphemie-part-1.html

– Mgr Grégoire Bahabanian à Luxueil : Saint Colomban : dimanche 22 juillet 1934

http://www.amisaintcolomban.net/attachments/File/fetes_colomban/1930-1939NV_site17dec09.pdf

– Les éditions du Bosphore : http://www.les-editions-du-bosphore.fr

par Onnik JAMGOCYAN :

Les banquiers du Sultan : « LES BANQUIERS DES SULTANS, JUIFS, GRECS, FRANÇAIS ET ARMÉNIENS, CONSTANTINOPLE, 1650-1850 »

http://www.les-editions-du-bosphore.fr/ce-que-nous-proposons/

http://www.les-editions-du-bosphore.fr/galerie-photos/

à paraître prochainement sur ARTIN KAZAZ :

KAZAZ ARTINE, le Banquier de MAHMOUD II, la Constantinople des années 1810-1850

Publication de 300 pages, prévue pour mai 2014 

– La revue PAREV : http://parev_cca_ca.perso.sfr.fr

disponibles en ligne :

article sur le pèlerinage de Pithiviers numéro 43 page 41

article sur l’abbé Chaperon et le Père Raymond Boyer numéro 47 page 31

article sur la guerre de Cilicie numéro 33 pages 32 et 33

et

article sur Antoine effendi AFTERIAN à Konia

extrait du livre de Simon Arakelian :

 » 1915, les événements d’Ankara et mes mémoires de déportation « 

– FILM : Le fils du Marchand d’Olives :

http://www.lefilsdumarchand.fr

le commander : http://contreallee.bigcartel.com/product/dvd-le-fils-du-marchand-d-olives

– Les arméniens de Grenoble : http://www.revues-plurielles.org/_uploads/pdf/6_95_5.pdf

– les arméniens de Lyon : http://www.tribunedelyon.fr/?actualite/societe/35966-qui-sont-vraiment-les-armeniens-de-lyon-

– les enfants d’Ararat : dont le témoignage de Georges Arabadjian sur la déportation d’Angora.

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=40042

– Isabelle Kessedjian :

son site : http://isabellekessedjian.blogspot.fr

une vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=OM2rKRxRKnQ

– le pape Jean XXIII et Istanbul :

http://dominicains.com/decouvrir/se-former/140-le-pape-jean-xxiii-et-istanbul

– 14-18 les Dardanelles : http://denisevb.free.fr/guerres/1418/darda.htm

– Livre : les Arméniens en France – Anouche Kunth – Claire Mouradian

petite vidéo : http://www.editions-attribut.fr/Les-Armeniens-en-France

– la maison Kassapian d’Angora :

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=9192

– collège Arménien de Sèvres

http://www.ville-sevres.fr/ewb_pages/v/visite-culturelle-collegearmenien.php

– LIVRE : La confiscation par le gouvernement turc, des biens arméniens dits « abandonnés » / auteur(s) : Kevork K. BAGHDJIAN – préface de Yves Ternon

http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=baghdjian-kevork

– Bibliographie des livres et de la presse Arméno-turque 1727-1968

H A Step ‘anyan – Erévan : L’Académie des sciences d’Arménie, Institut d’orientalisme, 2012

cité dans : http://www.oncu.com/eskiharflikitaplar-wordpress/

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Noms arméniens du cimetière de TARARE septembre 2011

à l’occasion d’une recherche j’ai collecté les sépultures portant des noms arméniens

Charles Tournier 1894-1983

« le commencement du bonheur c’est de vivre en PAIX avec les siens et les autres »

je n’ai pas indiqué les dates (me contacter si besoin)

– famille KOTCHOUMIAN

à la mémoire de Vartanouche TCHIKDJIAN

décédée à Istamboul

ici reposent

Bedros KOTCHOUMIAN

Aghavnie DERBAPIAN veuve ZAKARIAN

Agop KOTCHOUMIAN

Salvador VALLS

?? RAIR ZAKARIAN

Archa?ouys KOTCHOUMIAN

– famille INNEDJIAN

Agop INNEDJIAN

Sarkis INNEDJIAN

Housdik ASSIPIAN épouse INNEDJIAN

Siranouche ESSAYAN veuve INNEDJIAN

Arakel INNEDJIAN

Marie INNEDJIAN épouse DILDARIAN

Philomène SARKISSIAN veuve INNEDJIAN

– Famille DIRASSOUIAN-Girard

ici reposent

Berdje DIRASSOUIAN

Perghouie PAPAZIAN veuve Setrak DIRASSOUIAN

Azadouhie BERBERIAN

Serge DIRASSOUIAN

– Famille BENLIAN

Grégoire BENLIAN

Georgette BENLIAN

Joseph BENLIAN

Virginie BENLIAN née SOGOMONIAN

Marie BENLIAN

Marguerite BENLIAN

– KALESKIAN CHAMBOST1894-1957

Lucie DOIRIEUX veuve CHAMBOST

Louis KALESKIAN

Emilia CHAMBOST veuve KALESKIAN

– Famille APELIAN KARASSARKISSIAN

Kronik ADJEMIAN veuve KARASSARKISSIAN

Krikor Arthur APELIAN

– Famille KIRICHDJIAN ALEKIAN

Mariam SARAFIAN épouse ALEKIAN KIRICHDJIAN

Khoren KIRICHDJIAN

Agop SILIFKELI

– Garabed GUZUKIAN

Rose KEREKDJIAN née MANOUKIAN

– Annie BOLADIAN

Simon VARTANIAN

Elisabeth VARTANIAN

Nazareth VARTANIAN

– famille MARILOUSSIAN

Kira??? (kiragus) MARILOUSSIAN

Bayzar MARILOUSSIAN née PARAKIAN

Robert MARILOUSSIAN

– Marie TEKIAN épouse KEPEKLIAN

Onnik KEPEKLIAN

Philo KEPEKLIAN épouse LOUSSAREVIAN

Jean Paul KEPEKLIAN

– famille ASSADOURIAN

ici repose

Henon ASSADOURIAN

– Nevart VARTANIAN épouse AVEDISSIAN

Haig AVEDISSIAN

Paylaz KURDKJIAN épouse AVEDISSIAN

à la mémoire de Marie-Louise AVEDISSIAN

– famille SOGHMONIAN CHMCHIRIAN

???????????????????

– famille PALANDJIAN

mariam EXIDJIAN ? veuve PALANDJIAN

Aiganouche KELECHIAN veuve MINASSIAN

Aram PALANDJIAN

Karnik PALANDJIAN

Sirarpie ? SANDIKDJIAN veuve PALANDJIAN

Hrip MINASSIAN épouse PALANDJIAN

Agor PALANDJIAN

– petite croix : Michel KAZANDJIAND BALLAND 1

– petite croix avec vierge: Maritza TEFDJIAN

qu’elle repose en paix

– françois CECILIAN

– Jamila TABBAKH née BAHRI KECHICHIAN

– famille TEKIAN-DAMADIAN ( avec photos )

Grégoire DAMADIAN

Ohannes TEKIAN

Grégoire TEKIAN

Annita TEKIAN

Marie BAGHDIGUIAN veuve G. TEKIAN

Nectar TEKIAN veuve DAMADIAN

Paul TEKIAN

Martine KOURCHIDIAN née TEKIAN

PARU en février 2018 : les Editions de Nicéphore

Guillaume Aral
« Les Arméniens catholiques : étude historique, juridique et institutionnelle, XVIIe-XIXe siècle », suivi de : « Les Mythes de la christianisation de l’Arménie »

Couverture reliée avec jaquette, 448 pages

Pourquoi, alors que les Arméniens appartiennent dans leur très grande majorité à une église nationale et autocéphale, existe-t-il une petite communauté d’Arméniens catholiques ? Quelle est son histoire ? Quelle est l’origine des institutions ecclésiastiques telles que le patriarcat arménien catholique de Cilicie ou la Congrégation des pères mekhitaristes ?
La question arménienne catholique nous plonge dans l’histoire des relations multilatérales et complexes entre le Saint-Siège, l’Église apostolique arménienne, des États catholiques (comme la France ou la Pologne), orthodoxes (comme l’Empire russe) et musulmans (comme l’Empire ottoman ou le royaume de Perse).

Docteur en droit, spécialisé en histoire du droit et des institutions, l’auteur propose la première étude globale du sujet, synthétisant une somme considérable d’archives inédites, d’ouvrages anciens et d’articles spécialisés.
L’étude est suivie d’un essai sur les mythes de christianisation de l’Arménie dans lequel l’auteur avance quelques hypothèses remettant en question la véracité de l’histoire de la conversion des Arméniens par saint Grégoire l’Illuminateur.

 

extrait concernant la déportation de 1827 :

 

La déroute de l’armée turque qui s’acheva par l’anéantissement de la flotte turco-égyptienne par les armées anglo-franco-russes à Navarin, le 20 octobre 1827, créa chez le sultan Mahmoud II (1808-1839) un ressentiment à l’égard des « alliés naturels » des Francs, les chrétiens ottomans. Le sultan demanda au patriarche arménien s’il répondait toujours de la fidélité de sa communauté. Le prélat répondit insidieusement qu’il l’assurait de la fidélité des Arméniens sauf de ceux qui constituaient la faction catholique. Les Arméniens catholiques lui étant rebelles, ils ne pouvaient que l’être aussi à l’égard du gouvernement ottoman lui-même. Le sultan prit alors des mesures draconniennes pour neutraliser et punir les « rebelles » arméniens catholiques1. La répression commença le 13 juillet 1827 par le décret de bannissement des principaux chefs du parti catholique constantinopolitain : ils furent exilés avec leur famille dans diverses villes de province de l’empire. Cette mesure concerna environ mille personnes2. Le 10 décembre, après que l’évacuation des ambassades européennes à Constantinople, les Arméniens catholiques furent officiellement proclamés « ennemis de l’empire » parce que favorables aux « Francs »3. Un firman aurait été donné par le sultan au patriarche arménien Garabed, le 3 janvier 1828, lui demandant de maintenir l’ordre chez les catholiques4. Le sultan, par un firman daté du 8 janvier 1828, prétextant du manque de nourriture dans la capitale en raison du conflit russo-ottoman, ordonna l’exil dans les douze jours de tous les Arméniens catholiques originaires d’Angora résidant à Constantinople, dans leur ville d’origine. Cette déportation concernait initialement toutes les personnes, sans condition d’âge ni de sexe, mais le 11 janvier, un deuxième édit exemptait de la proscription les orphelins, les veuves, les malades et les personnes âgées. Entre le 21 et le 23 janvier, le jour de l’ultimatum, six à huit mille personnes prirent le chemin d’Angora, à pied, dans les rudes conditions hivernales5. Les caravanes des déportés comprenaient non seulement les familles entières de fidèles, mais également vingt-sept prêtres6. L’ambassadeur des Pays-Bas rapporte que « les pauvres angouriotes meurent de froid en chemin. Nicomédie7 en est encombré. Les détails de cette proscription font dresser les cheveux »8. Les caravanes arrivèrent à Angora, le 2 février 1828.
Pendant ce temps, des persécutions touchèrent également les Arméniens catholiques non originaires d’Angora. Le 12 janvier, un nouveau firman leur interdit le séjour dans les quartiers francs de la capitale afin d’éviter les contacts entre les Arméniens catholiques et les Européens. Tous les Arméniens catholiques de Péra, Galata, Thérapia et Buyukdéré durent désormais résider dans les quartiers exclusivement arméniens ou mulsumans de Balat, Vlanga, Psammatia et du Phanar. Selon l’ambassadeur français, vingt mille personnes furent concernées par ce déplacement9.
Les prêtres catholiques de la ville d’Angora, préalablement à l’arrivée de la caravane des exilés, furent conduits à Adalia, ville maritime de l’Anatolie, où ils durent résider. Les églises catholiques de Péra et Galata furent fermées. Tous les prêtres arméniens catholiques – non angouriotes – qui refusèrent de se soumettre au patriarche arménien, furent bannis de l’empire (6 février 1828). La plupart trouvèrent refuge en Crimée russe ou en Italie10. Enfin, un mektoub-i sami (décret) pris par le grand-vizir, le 22 février 1828, à la requête du patriarche ordonnait que la quarantaine de religieuses arméniennes catholiques de la capitale soit exilée à Panderma et à Mahalidj, sur la côte de la mer de Marmara11.
Concernant les maisons des catholiques, bien que les firmans ne prononçaient pas leur confiscation, elles le furent dans les faits. Les scellés furent mis sur les comptoirs et magasins, et les maisons mises aux enchères et vendues à vil prix. Le prix des ventes fut encaissé par le gouvernement ottoman en sa qualité de liquidateur12.
Dans les provinces, la persécution commença plus tardivement que dans la capitale, au mois de mars 1828. Dans toutes les villes à population catholique (Erzeroum, Tokat, Kutahya, Perkinik, etc.), le clergé fut exilé et le peuple soumis à des vexations13.
Les chancelleries européennes s’émurent de cettte persécution que Mgr Coressi, vicaire patriarcal latin de Constantinople, décrivait comme « l’holocauste collectif du peuple arménien catholique »14. Ce fut à la suite d’un changement de conjoncture extérieure, la défaite turque, que les Européens furent finalement en mesure, en 1830, d’imposer au sultan non seulement de mettre fin à cette persécution, mais surtout de donner l’autonomie aux Arméniens catholiques en les soustrayant à la juridiction du patriarche arménien de Constantinople15.
Les années 1650-1830 constituèrent une période difficile pour les Arméniens catholiques. La volonté de se séparer de l’Eglise arménienne était chez eux récurrente, mais les conditions politiques ne permettaient pas cette scission : les sultans n’admettaient pas la remise en cause de l’unicité du millet arménien. Le Saint-Siège dut s’adapter à cet état de fait. Il établit une doctrine sur la juridiction des Arméniens catholiques qui évolua au fil du temps, en fonction de la conjoncture politique et religieuse.
1 La plupart des sources européennes attribuent l’iniative de ces mesures à une lutte d’influence entre les banquiers arméniens catholiques et non-unis puisque la majeure partie des banquiers ou sarafs de Constantinople étaient arméniens catholiques. Le proche conseiller du sultan, le banquier arménien non-uni Haroutioun Bezdjian dit Cazaz Artin, directeur de la Monnaie impériale, aurait été, selon ces sources, à l’origine de l’ordre déportation des catholiques qui lui permettait d’éliminer ses principaux rivaux. Sur ce personnage, cf. JAMGOCYAN, Les Finances de l’empire ottoman et les financiers de Constantinople (1732-1853), op. cit., pp. 337-356.
2 CHIRIKDJIAN, L’Eglise arménienne, op. cit., p. 194 ; BEYDILLI, Recognition of The Armenian Catholic Community, op. cit., pp. 21-23.
3 SETIAN, Gli Armeni cattolici nell’ impero ottomano, op. cit., p. 53.
4 TEKEYAN (Vartan), Le Patriarcat arménien catholique de Cilicie au temps de Grégoire-Pierre VI (1812-1840), Beyrouth, 1955, p. 48 ; L’Ami de la Religion et du Roi, t. 55, février-mai 1828, p. 60.
5 Le professeur turc Beydilli recense 2 741 bannis de sexe masculin dans les caravanes. Il y avait donc environ 6 000 bannis de deux sexes, ce qui correspond au chiffre donné par les sources occidentales ; BEYDILLI, Recognition of The Armenian Catholic Community, op. cit., p. 13.
6 Mgr Georges Papaz, vicaire arménien catholique, dix-neuf prêtres séculiers dépendant du vicariat patriarcal latin de Constantinople, quatre missionnaires apostoliques, un missionnaire mekhitariste de Venise, un missionnaire mekhitariste de Vienne ; SETIAN, Gli Armeni cattolici nell’ impero ottomano, op. cit., p. 54.
7 Ville sur la route de Constantinople à Angora, aujourd’hui Izmidt.
8 A.M.A.E., Correspondance politique, Turquie, vol. 250, f° 89 : lettre de Zuylen de Nyevell, du 3 février 1828.
9 A.M.A.E., Correspondance politique, Turquie, vol. 250, f° 119 : lettre de Castagne, du 19 février 1828.
10 L’Ami de la Religion et du Roi, t. 55, février-mai 1828, p. 78.
11 Archives de la S.C.P.F., Scritture non riferite, Armeni, vol. 33, ff. 416-424.
12 A.M.A.E., Correspondance politique, Turquie, vol. 250, f° 119 : lettre de Castagne, du 19 février 1828.
13 Archives de la S.C.P.F., Scritture riferite nei Congressi, Armeni, vol. 33, ff. 545 et 614. Pour un récit détaillé des persécutions dans les provinces d’Erzeroum et de Trébizonde, cf. Les Missions catholiques, t. IX (1877), pp. 2-6, 14-17, 26-28, 38-41, 50-53, 74-77 et 86-89.
14 Archives de la S.C.P.F., Lettere volgari della S. Congregazione, vol. 309, f° 407.
15 Cf. infra pp. 181-192.